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Le Journal du Dimanche
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1. Matignon annonce que la reprise des soins de santé mentale en France sera suspendue dans les prochains jours
Après l'annonce de la levée du confinement, le gouvernement a confirmé qu'il suspendrait les activités de soins de santé mentale à partir de ce dimanche 21 mai. Une annonce qui concerne en premier lieu les consultations en psychiatrie, où les soins sont de moins en moins remboursés en France.
Les médecins pourront en effet reprendre leurs consultations en psychiatrie, à condition qu'ils soient eux-mêmes vaccinés et qu’ils possèdent une attestation de vaccination. Ils pourront également continuer à prescrire les médicaments habituellement utilisés, mais ne pourront plus donner de consultations avec leurs patients.
"S'agissant des consultations en psychiatrie, il n'y a aucune mesure particulière à prendre", a souligné la ministre déléguée à la Santé Agnès Buzyn, qui est également à la tête de la Direction générale de la Santé.
Les psychiatres ne sont pas concernés par la mesure de suspension des soins, qui s'applique aussi aux soins de santé mentale en cabinet libéral ou en hôpital de jour. Ils devront continuer à prescrire et dispenser les médicaments.
2. Les écoliers pourraient reprendre les cours en maternelle dès mardi
Le retour à l'école de 12,5 millions de Français après les vacances de Pâques, dont plus de 3 millions d'élèves en maternelle, pourrait débuter dès mardi, a indiqué le ministre de l'Education nationale. La réouverture des classes concernerait donc plus de 500.000 enfants à ce stade.
"On peut penser que ça pourrait commencer dès ce mardi (...) Le calendrier qui avait été prévu est donc un peu chamboulé", a expliqué Jean-Michel Blanquer. Il a précisé que cette réouverture ne concernerait pas les écoles situées dans les quartiers en difficulté, mais uniquement celles situées en milieu rural ou en zone montagneuse.
Avant cela, le ministre de l'Education nationale a précisé que 500.000 enfants (plus de 12 millions d’élèves au total) vont reprendre le chemin de l’école le 26 avril prochain. Le calendrier avait été initialement fixé au 11 mai, date du début du déconfinement. Le ministre a par ailleurs déclaré que les établissements scolaires seront fermés "un certain temps".
Afin d’éviter toute rupture de scolarité, les parents d’élèves vont pouvoir continuer à accompagner leurs enfants à l'école en respectant des règles sanitaires. Les élèves seront ainsi répartis dans chaque classe, et les enseignants ont été autorisés à aménager la salle de classe.
3. La réouverture des salles de sport et des piscines ne se fera pas avant le 2 juin
Dès lundi, le ministère des Sports a annoncé la réouverture des piscines et des salles de sport, ainsi que le retour des sports collectifs, à l'exception des sports de contact. La décision devrait être officialisée mardi. L'objectif est de permettre une réouverture des salles de sport et de natation, ainsi que des piscines à partir du 2 juin.
A ce stade de l'épidémie, les sports de contact, comme le football, le rugby ou le basket, sont donc toujours suspendus.
Le ministre de l'Education nationale a par ailleurs affirmé que les écoles ne reprendront pas les cours avant le 2 juin.
Les cours de sport seront quant à eux maintenus, mais avec des aménagements : en intérieur, seul une partie des élèves pourra pratiquer une activité physique.
"Les élèves seront répartis dans les classes par niveau. L'enseignant ne sera pas seul avec chaque élève. Le suivi se fera dans le respect des règles de distanciation et des gestes barrières. Les élèves ne se verront pas imposer un groupe d'enfants, même si la distanciation physique est impossible", a précisé le ministre.
Pour les écoles maternelles et primaires, la réouverture sera possible dès lundi, sous réserve de la mise en place du protocole sanitaire renforcé pour cette période. Les enfants seront accueillis dans les classes avec un enseignant dédié, a également précisé le ministre.
"La réouverture des écoles maternelles et primaires doit être la priorité de la reprise des apprentissages", a ajouté Jean-Michel Blanquer, appelant à "la responsabilité des parents, des équipes éducatives et des collectivités locales".
Pour l'heure, le ministre de l'Education nationale a indiqué qu'il ne souhaitait pas reporter la réouverture des écoles, qui était prévue pour le 18 mai, au 26 mai.
A ce stade de l'épidémie, il est difficile d'estimer avec exactitude quand les élèves retrouveront le chemin de l'école, qui est le premier jour d'école. En effet, le Ministère de l'Education nationale se basera sur les indications données par les établissements scolaires. Dans la situation actuelle, il faudra donc probablement attendre la date du 11 mai, au vu du nombre de classes fermées.
"Il n'y a pas de date fixée pour la réouverture des écoles et des lycées, a également précisé le ministre de l'Education nationale, qui a rappelé que "les parents doivent accepter ces mesures".
A partir du 26 mai, les élèves devront donc attendre que le nombre de cas positifs à la Covid-19 au sein du foyer parental soit inférieur à 24 heures pour pouvoir reprendre le chemin de l'école.
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>>Boire
>La bière est la seule boisson alcoolisée interdite
Certains pays ont interdit l'alcool en raison des risques pour la santé. Les autorités sanitaires estiment que cette mesure pourrait sauver 55.000 personnes par an et éviter un nombre estimé de 12.000 décès par an. Les boissons alcoolisées comme la bière, le vin, le champagne et les spiritueux ne sont pas autorisés dans les pays suivants : Belgique, Allemagne, Espagne, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Royaume-Uni et la plupart des pays d'Europe de l'Est.
Si les autorités s'efforcent d'empêcher la propagation de ces boissons alcoolisées lors d'événements en particulier, ces interdictions sont souvent utilisées comme une arme dans les pays où les autorités sont confrontées à une baisse des taux de consommation d'alcool.
Les principales causes de décès et de blessures liés à l'alcool sont les maladies cardiovasculaires et les accidents de la route. L'alcool est également la principale cause de décès des patients atteints de cirrhose, c'est-à-dire une accumulation de dépôts graisseux dans le foie qui se traduit par une cirrhose.
Cette substance peut provoquer des problèmes de foie et de vessie si elle est consommée en trop grande quantité. L'alcool peut également endommager les systèmes nerveux, immunitaire et reproducteur. Il peut causer des troubles de la mémoire et de la concentration, et augmenter les risques de dépression, de maladies cardiaques et de suicide.
En 2018, 17 millions de décès étaient dus à des problèmes liés à l'alcool, selon les données de l'OMS.